Départ de la maison vers 10h15, il bruine tout au long du trajet jusqu'à l'aéroport. Cela roule à peu près correctement (compte tenu des conditions climatiques) sur les trois quarts du parcours.
Il est près de 11 heures quand on arrive à un ralentissement provoqué par un accident.
A 11h15, on est au terminal 2E et plus aucun véhicule ne roule : "un bagage abandonné" est explosé par les autorités devant le terminal 2F, là où on embarque. On décide de finir le trajet à pieds, Amélie reprenant le volant.
A 11h40, on est au terminal 2F, zone 2, pour l'enregistrement des bagages. Problème : il y a une queue monstrueuse et on doit avoir enregistré nos valises à 12h25 dernier délai. On flippe !!! On avance un peu mais pas assez vite pour être rassurés. On va rater notre avion ...
12 heures : deux guichets d'enregistrement ouvrent à deux mètres de nous. GO ! Crumble : 8 kilos, Salidou : 14 kilos (ça pèse tout ça).
12H10 : bagages enregistrés, portiques de sécurité passés, en attente de pouvoir embarquer à 12h35, porte F33. OUF !...
13h15 : on a déjà vingt minutes de retard et le pilote nous informe qu'il résout un problème de calculateur et qu'après nous pourrons décoller. Pour se donner bonne contenance, Salidou (qui n'en est qu'à son second vol) lit l'Equipe. Il pleut toujours.
Salidou et Crumble, prêts pour le décollage 13h30 : le calculateur semble avoir été réparé, on commence à se mettre en position sur la piste. Il pleut encore et toujours. C'est parti pour 1h25 de vol, selon le pilote. 13h45 : il était temps, on vole enfin. On est dans les nuages, et il fait beau !
Un repas nous est servi dans l'avion : attention, ça fait peur, un sandwich mesurant la taille du pouce de Salidou et un pepsi de 150ml. La classe.
15 heures, on atterrit, enfin, sans encombre. 17 heures, nous prenons possession de notre chambre.
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Ajout de 21h30 :
Je n'ai pas été dépaysé dans le métro parisien barcelonais. J'ai retrouvé Kuzco le "joueur" de flûtes de pans, sauf qu'il avait laissé tous ses potes à Saint Michel, tant pis pour eux.
C.S.